Et bien, me voilà enfin en Nouvelle Zélande. Non sans mal. J'ai bien cru que j'allais rester coincé à Sydney. Aventure ou mésaventure? Chance ou malchance? Tout dépend de quelle côté on se met. Vous savez, comme le verre à demi plein ou à demi vide.
Heureusement, je suis arrivée 2h en avance à l'aéroport. Debout à 6h, départ à 6h45. Taxi? Pas question. A partir de 7h du matin, Sydney est embouteillé comme les périphériques de Paris. On n'avance pas. Donc, obligation de prendre le bus puis le ferry. Là, j'ai mis seulement 35 min. Je vais au comptoir Jet Star, filiale de Quantas, pour prendre mon avion. Oh Surprise! Pour une fois, ils vérifient la date d'expiration de mon visa. Je suis dans les normes, donc pour moi, pas de problèmes. Et c'est là ou tout se gâte. Les visas australien sont donnés pour 1 an mais avec un délai limité à 3 mois sur le territoire. Vous quittez l'Australie pour 1 jour, et vous revenez pour 3 mois. C'est du moins ce que j'ai toujours connu, et qui après relecture du visa est toujours valable. Et bien, pour la personne qui devait me donner mon billet d'accès à l'avion, elle a été plus loin. Je reviens en Australie le 26 février (du moins ce qui était prévu). Mon visa du premier séjour expirait le 11 février. Et Alors? Ou est le problème? Je ne suis pas en Australie, non? Ah mais là, pas question !!!! En Nouvelle Zélande, soit disant, ils ne me laisseront pas entrer! Mon visa expire avant la date de mon départ de Nouvelle Zélande. J'ai beau leur expliquer, INCOMPREHENSION totale dans des cerveaux surement un peu limité. Ils veulent absolument que je change la date de mon retour en Australie avant le 11 février. Au bout d'1h, ils m'expliquent ou aller pour changer le vol, chez Quantas uniquement. Je traverse en courant, avec ma valise (à 4 roulettes quand même) mon sac de voyage souple et mon sac à dos TOUT l'aéroport. Je suis en nage. Pas de problèmes, on me change la date du vol en 3 minutes. Ils doivent avoir l'habitude .... Je reviens, même trajet, encore plus en nage. Non, je n'ai pas des vapeurs. Je n'ai plus l'habitude de courir. Enfin, j'ai mon billet! Je coure pour effectuer mon embarquement qui commence dans 1 minute. Passage de la douane, facile. Passage immigration. No problem. Ils ne regardent visiblement rien. OUF! J'arrive avec seulement 8 minutes de retard. Et bien, je pouvais prendre mon temps. J'ai embarqué avec 50 minutes de retard. Je n'ai jamais compris ce qui s'était passé. Est ce parce que c'est Jet Star ou bien c'était général?
En tout cas, j'ai bien cru que jamais j'embarquerais. Et tout cela car des filles qui ont voulu se substituer à l'immigration d'un autre pays et qui ne connaissent rien aux lois ont un pois chiche dans la tête.
Arrivée à Queenstown : NO PROBLEM. Je suis même tombée sur un fan de la France qui a juste jeté un regard sur mon passeport en 30 secondes, vérif si je ne suis pas fiché, tampon, et c'est parti, je suis enfin arrivée en Nouvelle Zélande. Première étape, QUEENSTOWN. Et là, c'est tout un roman .... pour les jeunes sportifs.
Enfin, quelques photos. Toute une acrobatie pour les récupérer. Je n'ai hélas pas eu le temps de faire toutes celles que je voulais. Il me faut un ordinateur normal (pc) avoir un logiciel photo dessus, les envoyer par mail, les récupérer pour le blog. Qu'est ce que je ne ferais pas pour les amis?
Pour finaliser mon départ d'Australie, 2 photos de surfers, meilleures que celles que j'ai prisent il y a 2 ans. Je les trouve très belles.
Et j'en ai d'autres, mais ce sera pour une autre fois.
Demain, si j'ai internet sur le glacier Franz Josef, ce sera le DIABLE de Tasmanie