Le blog de ralek

Aujourd'hui, je ne savais pas quelle photo pourrais illustrer cet article. Et bien, je vais rester neutre. Finalement, j'étais en bord de mer. Voici mon prochain exploit ascencionnel en espérant que je n'aurais pas le vertige.

J'ai fait ma première plongée sous marine. J'ai tellement été frustrée à la barrière de corail (en Australie), que là, je me suis dit que je devait apprendre. Et bien, voilà.  C'est fait. Je me trouve très courageuse, moi qui ai une tendance claustrophobe. La mer sous l'eau est superbe. les poissons passe devant mon nez, gracieux et souriant. Oui! Je suis sure qu'ils sourient en voyant ce truc qui est une femme (mais ils ne le savent pas) cramponné à un bel homme, Horacio, mon professeur. J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi patient. Avec lui, j'ai eu une chance incroyable. Toute la journée, il m'a en premier appris à me servir du matériel, et pour ceux qui connaissent, il savent que ce n'est pas si facile que ça. Puis pendant 1h, on a essayer dans la piscine. J'ai glissé avec mes palmes, eu de l'eau dans le masque et dans le nez, j'ai bu la tasse, j'ai cru que je me noyais. Finalement tout s'est bien passé. Cela m'a donné des idées de peintures : les jambes des nageurs sous l'esu. Superbes. Sauf qu'a un moment, j'ai bien cru que j'allais recevoir un pied sur le corps. Mais non. Je crois qu'ils se demandaient ce qui se passait et certains ont eu envie d'apprendre, comme moi.

L'après midi, direction le "reef coralien" qui est une zone protégée. Alors là, j'ai été heureuse. Un peu de problème avec les oreilles vite résolue grâce au cours du matin. Puis au fond, les bancs de poissons multicolores qui vous réconcilient avec toutes les éventuelles angoisses d'une première fois. Je me suis trouvée face à un barracuda. Pas méchant du tout. Il m'a regardé, royal et dédaigneux. MOi, moins fière.

Par la suite j'ai appris que les Barracudas mangent des sardines. Le seul risque que vous avez avec eux, et d'être mangé ..... si vous portez de l'argent. Ils ne font aucune différence entre une sardine et un morceau argenté. iLS SE JETTENT DESSUS. Donc, attention, méfiance. Dans l'eau, pas de bijoux en argent et les barracuda vous laisseront tranquille. C'était le conseil du jour.

Le sable, blanc magnifique. Horacio me propose de le toucher, de vérifier sa finesse. Malheur! Je baisse la tête. Et hop, mon estomac me joue des tours. Vite !  A la surface ! ET re HOP ! Mon déjeuner, du riz, prend le chemin de l'assiette... des poissons. Ils ont été content. Beurk ! J'ai appris à mes dépends qu'on peut avoir le mal de mer au fond de l'eau. La prochaine fois, je prendrais mes précautions en avalant un comprimé avant de plonger. Et dire que j'avais attendu vendredi, jour de mer calme pour ce premier cours. Tous les autres jours de la semaines, il parait qu'ils ont tous été malades sur le bateau. Moi je l'ai été, dans la mer. A chacun sa spécificité. Je suis très fière de mon originalité.

             Hibiscus bordant la plage

Un cassette de ma première plongée sera visble le mois prochain, après mon retour à Paris

^{Et bien après les crocodiles australiens, voici les crocodiles de Floride. Ou plutôt les alligators.}

Je ne me suis pas promené toute seule en pleine nature, dans les Everglades. Je me suis inscrite dans un "tour operator" Ok, c'est un peu pour touriste, mais il y a des choses que l'on ne peut vraiment pas faire toute seule lorsqu'on est une femme seule et sans défense.

J'ai aimé la promenade en bateau à fond plat à travers les "canaux" des Everglades. Ce n'est pas Venise, mais assez spectaculaire. Là, les bateliers sont perché en haut, sur une chaise et dirige le bateaux avec une grande perche. 

Les Everglades fourmillent de divers animaux, oiseaux, crapeaux, tortues, et..... alligators

Et regardez, il y a le bébé alligator qui prend l'air, surveillé de très loin par..... son papa ou sa maman. Mais il y a également le grand frère qui circule par là, parmi les nénuphars. Car les canaux sont plein de nénuphars. Il n'y en a pas qu'à Cheverny. Mr Monet, vous en auriez eu également ici.

Après un tour dans les canaux des Everglade, nous avons droit à une démonstration. Tous les alligators ne sont pas méchant. Regardez. Celui là est un vrai bébé apprivoisé. Quand à ce gros matador, il a 9ans et prends la pose à la demande. OUI ! Il prends la pose et il l'a tient. Je n'aurais jamais pensé qu'un alligator pouvait s'apprivoiser de cette manière. Digne du cirque.

Et bien, après un long silence de plusieurs mois, (depuis aout 2010) je reprends la plume et les photos. Je suis allée à New York cet hiver, j’ai vécu la tempête de neige, mais le froid et la fatigue m’ont terrassée. D’ou ….. pas de blog !

Cette fois ci, voyage moins long, mais qui sera tout aussi intéressant.

Programme : Miami, Cancun, Mérida, Mexico, Chicago et pour finir, Londres.

Pourquoi ? Et bien, financièrement, c’était intéressant. J’étais invitée au Mexique, et je me suis aperçu qu’en passant par les Etats Unis, le billet d’avion me revenait au même prix et pouvait même être moins cher. Et bien, pour moins cher, je fais un périple américain et londonien en plus.

Evidemment, une économie est faite pour être dépensée. Du moins, possédant mon état d’esprit. Car a quoi peut bien servir une économie ? Donc, offrons nous des vacances complémentaires. 

Départ ce matin, mardi 26 avril 2011. Dur, très dur. Lever à 5 h 30 pour partir à 6h 30, prendre le car à 7h et l’avion à 10h. A 4h 30, j’étais réveillé. Je n’ai pas été en retard, mais tout juste.

Et l’aventure commence. Evidemment, rien ne se passe simplement. Pourtant, j’étais cool. Trop cool ?

 A l’aéroport, je me sens légère. Très légère. Mon sac a dos ne me pèse pas. J’avance d’un pas rapide. Bon, ou se trouve l’embarquement ? Mais, bizarre, il me manque quelque chose. Ma valise !!! On me l’a déjà fauchée !!! NON. Je l’ai tout simplement laissé dans le car. Je cours. Ouf, il n’est pas parti. Et je récupère ma belle valise rose qui aura vu du pays. (elle a fait tout l'Australie, Hong Kong, et la France cet été)

L’avion ? Bof! American Air Line n’a pas les avions Airbus. Les Boing sont moins confortables. Mais les stewards super sympa. Il n’y a presque personnes dans l’avion. Partir en semaine est génial. Il y a plein de places libres. Je peux m’étaler. Personne à côté de moi. La chance est avec moi. Un steward parle le français avec un joli accent. Plus tard, j’apprends que sa mère est de Lorraine et son père texan. Après une bonne demi heure de discussion, nous échangeons nos coordonnées. Il est intéressé par Paris, moi par Miami. Devinez! Et bien cet hiver, nous échangerons nos appartements. Chic. J’avais envisagé ces 3 jours à Miami comme à une reconnaissance pour un prochain voyage. Je démarre très bien. 

Miami, me voilà. En premier, Ocean Avenue. La rue principale de Miami beach. Que des restaurants et boutiques. On est en bord de mer. La plage. Superbe. La mer est bleue. Les sauveteurs ne sont pas comme dans le feuilleton, mais leur cabine est toute rose. J’aime.

Et bien voilà. Les premières photos de Miami Beach.

            1ERE VSION                      PAS TRES FIN, CE SABLE !!!!!

    ON EST BIEN A MIAMI                                PUIS, ON REGARDE LE SABLE..... ok ! C'EST JUSTE EN BORD DE PLAGE

Après le panneau prouvant que l'on est bien à Miami, puis les premiers pas sur le sable, enfin, on voit la mer, et ses haitants. Tiens, il y a d'autres habitants. Attention, plan de drague. Bof ! Finalement, prenons l'air.

Tout ce petit monde est bien gardé par : LES SAUVETEURS DE MIAMI BEACH.

UNE CABANE ROSE, POURQUOI PAS?

En tout cas, cela ne leur fait pas perdre leur virilité. Il est vrai que j'aime le rose. Alors cette cabane au bord de l'eau sort de l'ordinaire.

Demain, vous aurez droit au baigneurs en tenue légère.  OUHAAA ! Suspense !!!!!!!!

PETITE HISTOIRE DE KOALA

Tiens, il y a du monde qui me regarde.               Oh, mais c'est que ce sont des humains !

Bon, prenons la pose.                   Tiens, mais qu'est ce qu'il fait celui là ? Ah oui ! Il mange.

      Ben quoi, j'ai fain moi. Il me faut ma dose de feuille d'eucaliptus. Je digère tellement lentement.

   Et bien moi, je leur montre mon ...... arrière train. Vous voyez, en bas, le truc plus clair    

                                                        Et moi, je montre le devant. A vrai dire, ça me démange 

Mais qu'est ce qu'ils ont tous ceux là. Je m'en vais.

Curieux, mais il y a des crocodiles en Australie. D'ailleurs, souvenez vous du film crocodile dandy...

Je ne sais pas ou ils se trouvent. Je n'en ai pas vu dehors, ou dans une forêt ou un marécage. Je n'ai pas du aller au bon endroit. J'en ai donc vu dans ce que les australiens appellent un sanctuaire. Ils ne sont pas complètement apprivoisés, mais presque. 

Il parait qu'il y en avait un qui se baladait sur la plage de Cairns une semaine avant mon arrivée. Peut être que c'est celui là que j'ai photographié?

Par contre j'en ai mangé à Alice Springs. Je ne sais pas si c'était à cause de la recette ou du crocodile, mais je l'ai trouvé moins bon qu'à la Nouvelle Orléans. Ici, il était dur et pas terrible. La bas, il était fondant et cuisiné avec des épices, c'est totalement différent. HUMMMM. Que c'était bon.

Bon, là, je dors. J'ai bien mangé, maintenant, c'est la sieste. Mais attention, je mord !

Mais qu'est ce qui se balade sur mon dos. Tiens, un bébé ?

    Et les jumeaux qui se font la tête !