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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 16:02

Alice Springs est vraiment une toute petite ville. En 1h on en a fait le tour. On peut visiter les alentours de la ville, le désert, mais comme j’ai pris un safari de 4 jours, je n’en ressens pas le besoin. A mon retour de ces 4 jours, je me suis rendu compte que j’avais raison. Ville charmante par ailleurs, mais vraiment la petite ville. Tout a fait ce qu'l faut pour une cidatine comme moi.

1er jours du safari : Surprise. Nous sommes 10 dont 9 femmes et le fils de 13 ans de l’une d’entre elle. Décidemment, les femmes seules voyagent.

Toutes de pays divers mais anglophones. Accent divers, compréhension diverse pour moi. Le pire accent est celle du chauffeur / guide, typiquement australien. INCOMPREHENSIBLE. Durant les 4 jours, j’ai compris le ¼ de ce qu’il disait. Par ailleurs charmant et assez bel homme (ok, no coments)

ULURU ou Ayers Rocks : ben quoi, c’est un gros rocher. Juste un gros rocher tout rouge de 11 km de circonférence. De loin, j’ai vu mieux. De près, c’est tout de même différent. Plein de creux et de bosses. Et cette couleur constamment présente. Ocre rouge. Exactement la couleur que l’on utilise dans les tableaux. Elle est partout. Par terre, sur les côtés, mais pas dans le ciel, d’un bleu étourdissant. Il fait 16° mais le ciel est d’un bleu sans nuages. On marche, tourne et retourne, environné de ce rouge persistant. Spectaculaire

                            uluru 5                                       uluru 3 

   Notre groupe  devant ce gros rocher tout rouge

                    Et moi? Comment, vous ne me reconnaissez pas? Juste derrière le beau Toni !                                  

On reviendra le soir pour le coucher du soleil. Alors là, soit disant encore plus spectaculaire. Bof ! Ce n’est toujours qu’un gros caillou tout rouge. Et le meilleur fut la réception. Nous avons admiré ce coucher de soleil, un verre de champagne à la main.(et oui, regardez ce que nous avons dans la main) Vraiment, ce voyage commence bien. L’ambiance est bonne, les 2 guides que nous avons (et oui, pour 10) sont exceptionnels. Une connaissance de la faune, la flore et le pays, incroyable. Tony, à l’accent incompréhensible, est né et vit à Alice Springs, parmi les aborigènes.Danny, elle, fait son apprentissage de guide dans la région               

 Les camps : Nous avons dormi toutes les nuit sous la tente. Mais pas n’importe quelle tente. Elles sont permanentes, sans électricité mais avec un lit  (sommier et matelas très confortable) mais tout de même, on dort dans un sac de couchage. Et c’est là ou tout se corse. Il fait froid la nuit. (brrrrr. oh, bien 5°)

1 seul sac de couchage ne suffit pas. Heureusement, il y a un deuxième lit inoccupé dans ma tente. Je m’emmitoufle dans les 2 sacs, + les chaussettes + le pyjama en pilou. Hummm, je suis bien. J’ai chaud. Enfin ! Mais les autres dorment tout habillées, et elles ont froid. Chacun son calvaire !!!! Elles n'ont qu'à faire comme moi ! 

La cuisine : sublime ! Toni est un vrai chef. Pour le lunch ou le diner, il est génial. D’accord, il a ramené pas mal de cuisine déjà préparée. Mais au barbecue, il n’y a rien à redire. Ou alors, c’est que je suis tellement affamée que je ne me rends compte de rien. Par contre,  maintenant, je ne mange plus de viande pour un moment. Je suis complètement saturée. Les australiens mangent beaucoup de sandwichs et de viandes en barbecue. Pourquoi ? C'est plus facile.

 

Kings Canyon : j’adore. C’est plus qu’un gros rocher. Des vallons, des creux, des bosses, des arbres, des fleurs, des rochers à escalader. Et là, moi, je déclare forfait. Je reste au sol. J’aurais pu grimper. Mais pour redescendre, j’y serais encore. Elles ont marché sur des arêtes vives, un pont suspendu dans le vide…. Rien que d’y penser, j’ai des frissons ! Pendant ce temps, sur le plancher des vaches, je me baladais dans les vallons, j’ai vu des petits kangourous sauvages sautant de rochers en rochers, des oiseaux, bref, des tas de trucs qu’en haut elles n’ont pas vu.(même cette toile d'araignée, splendide dans la lumière) Et bien sur, toujours ocre rouge. Ah, j’oubliais. Lever à 5h 30, départ à 6h pour admirer le lever du soleil. Superbe. Rien à redire.

 

 uluru 7                    lever-soleil     Il est beau mon lever de soleil

Les Olgas : toujours de gros rochers rouges, mais harmonieusement placé dans l’espace. Cela vaut le déplacement. La marche à travers ce massif est géniale. A ma portée. Fatigante, on doit quand même grimper sur des rochers, en redescendre, mais pas de problème de vertige à ce niveau. Je suis euphorique. Le paysage, la marche, le cake pour se retaper au bout d’une heure. Bref, tout. C’est la marche que j’ai préférée.

     olgas     LA FAUNE AU COEUR DES OLGAS      olgas 1

 

Le dernier jour est réservé enfin à ce pour quoi j’ai signé pour ce safari : Rockhole ou la vie des aborigènes et cours de peinture

 Le chemin n'est pas évident, comme vous pouvez le constater. Admirez le bush dans toute sa splendeur.Sur la droite, c'est la route. Oui. Là. Vous voyez ou il y a le nuage de poussière? Dans la voiture, je ne vous dis pas. On avait intéret à accrocher sa ceinture. Comme dans un quad ! Ah ! Admirez également la sculpture sur cette route.

    CHEMIN-ROCKHOLE          La route et sa sculpture                      CHEMIN-ROCKHOLE 1

 

Le cours de peinture : Bon, ce n'était pas pas un vrai cours de peinture. Je connaissais déjà pas mal de chose au sujet de la peinture aborigène. Mais on a eu le droit de peindre sur un petit morceau de toile. Pas terrible mon oeuvre. Le but étant de raconter une histoire avec des ymboles, évidemment, j'ai voulu raconter trop de choses. Donc la place m'a un peu manqué. Au final, non, ma peinture n'est pas brouillone, je n'avais pas assez de place. Ce n'est pas pareil.

OK, je n 'ai peut être pas mis toutes  les photos que j'aurais voulu, mais je vais finaliser par un avant goût de ce qui fera un autre article.

    KANGOUROU                            CHAMEAU

    Oui ! Je prends la pose !                                      Mais non ! C'est moi le plus beau !   

    Je suis le plus beau.                                       D'ailleurs, vous aurez droit à tout un reportage

 


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9 juin 2010 3 09 /06 /juin /2010 12:50

Et bien, me voila vraiment au coeur de l'Australie. Juste au "Centre rouge", comme ils le mentionnent.

Et pour arriver ici, j'ai fait presque 3h d'avion de Sydney. Ah oui, Sydney. Je n'en ai pas parlé car je ne savais pas quoi en dire. J'ai quelques bonnes photos. Sydney, grande ville et petite ville. Au début, je me suis dit, 3 jours, ce n'est pas assez. Puis le 3ème jour : Ouf, je vais ailleurs. Evidemment, je n'ai pas visité les plages. Trop mauvais temps. Pluie, pluie, pluie. Tous les après midi. J'étais contente d'avoir traîné mon imperméable depuis Paris.

Alice Spring : Vraiment petite ville. Mais sympatique.

Déjà dans l'avion : mes voisins sont de Brisbanne, mon âge. Je n'ai compris que la moitié de ce que me raconatais la femme, mais elle était si contente, que je lui ai fait la conversation. A voir sa tête, je crois que je lui ai répondu de travers. Du moins, ce n'est pas ce qu'elle attendait. Mais bon. Dans la vie, il faut oser dire n'importe quoi.

A l'aéroport, je prends le shuttle. Je tombe sur un français qui travaille pour la compagnie de shuttle, mignon comme tout qui prend ma valise et m'explique tout pour aller en ville. Là, j'ai tout compris. (pour une fois)

A l'hötel, on me donne une chambre. Evidemment avec ma chance habituelle, elle a été donné 2 fois. Une fois installée, un couple avec leur fille arrive. Mystère des réservations. Il faut dire que pour une personne, j'ai 3 lits.... Je trouvais bien cela bizarre, mais pourquoi pas? On est à Alice Spring ! La plaque tournante de tous les voyageurs qui viennent en Australie. Dans ce pays, on prend un lit dans un dortoir que l'on paye 15 à 30 $ suivant la catégorie. Et ces hotels de "backpackers" pullulent. Pourquoi est ce que je raconte cela? Et bien, le comble de l'histoire, je garde la chambre, mais la femme me demande l'autorisation de me photographier. ET OUI ! C'est moi la star du jour. J'en rie encore. Me voila posant devant la porte de cette chambre d'hôtel. Je suis tout sourire, et ne pense même pas à me recoiffer. (avec les doigts évidemment. Je ne sais plus ce qu'est un peigne depuis que je suis ici.) Après coup je me suis dit que je devais avoir un look très spécial. On me dit souvent : Ah vous êtes française? en me regardant bizarement. Je susi en train de faire une réputation d'enfer aux françaises de mon âge. Mais aujourd'hui, je m'aimais bien. Salopette en jean, gros pull bleu marine à l'intérieur, mes grosses chaussure Timberland aux pieds, et le clou, une écharpe de la couleur de mes cheveux, un peu rouge bordeaux, et mes lunettes tigrée ! Qui d'ailleurs ont un succès fou ! Habillement très simple, quoi ! Confortable sans être select, mais pas bon marché quand même!

Bon, la ville maintenant. Petite, vraiment petite. Entourée par le Bush. A pied, j'en fais le tour en 1/2h, 1h. Une rue comerçante avec, par contre de superbe galeries d'art arborigène. On m'avait prévenu. Là, c'est vrai. Presque mieux qu'à Sydney et Melbourne. De la peinture de qualité. En particulier dans une galerie immense, avec des sculptures très interressantes.

Vraiment, ces peintures me donnent des idées. Au fur et à mesure que je les cotoie, je les comprends un peu mieux. Oh ! Je suis loin de la compréhension totale. Mais j'avance. C'est une peinture qui parle, qui raconte des histoires. ELLES SONT TOUTES CODEES. Il suffit de les décoder.

Ce qui me surprend dans cette ville, ce sont les palmiers, (je ne m'y attendais pas après avoir vu les rain forests) et les arborigènes. Ils sont là, présent, ne quémandant pas, mais pour une fois je ne suis pas à l'aise. Et c'est rare. Ils me font penser aux petits voyous de banlieue qui vous regardent de travers, à l'affût non pas d'un mauvais coup, mais on ne sait jamais... Surtout, ne pas laisser son porte monnaie... Ici, ils ont l'air malheureux. A Sydney, Melbourne, Adélaide, ceux que j'ai rencontré étaient mieux intégré socialement. Du moins en apparence.

Voilà ma première impression d'Alice Spring. Une petite ville perdue au millieu de nulle part. (j'ai lu cela déjà, il me semble. Je copie) Et pour la première fois depuis mon arrivée en Australie, je ne peux pas la comparer à une ville ou région des Etats Unies ou bien d'Angleterre.

Demain, grand safari de 4 jours. Il va encore falloir me lever de bonne heure. Mais on y arrivera ! 

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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 00:40

Et bien, comme forêt, je n'avais encore jamais vu cela. 

J'ai été invitée chez les parents de Kylie qui vivent dans cette région très connue à 1/2 h en voiture de Melbourne.

J'ai été enthousiasmée par leur accueil et l'environnement de leur maison. Une maison dans la forêt sans être la forêt. ET oui. C'est possible. D'autres maisons les entourent, mais on ne les voit pas. Ils ont un jardin avec quelques arbres. Normal. Mais là ou c'est différent, ce sont les animaux non domestiqués qui viennent dans ce jardin. Moi, qui ne suit pas très campagne, je craque.

La vue : superbe

Les animaux :

1 wombat, animal que je ne saurais décrire. Qui vient manger les graines qu'on lui donne et accepte de se laisser caresser. Normalement le pelage est doux. Là, il est un peu rêche. Il a dû trainer dans des résineux. Quelque fois, des copains au pelage plus doux viennent profiter de la gamelle

Des perroquets. Et alors là, au début, 1, puis plusieurs. Une vrai volière en ambiance naturelle.

                               perroquet-1

                             Sur le balcon de la famille WITT, Apparition des perroquets

 

Balade en forêt:

Des arbres plus que centenaires. Je n'ai jamais vu cela. Nos vieux arbres sont loin du compte. Des troncs énormes à foison. Mes bras étalés correspondent même pas au quart du diamètre du tronc. ET il y en a plus d'un. Explication : C'est une "rain forest". Depuis seulement 2 ans le climat a perturbé cette forêt. Normalemnt, il pleuvait plus de 6 mois dans cette région. Puis du soleil torride (40°), puis les nuits froides (en dessous de 0° en hiver), et surtout la pluie et le terrain qui leur a donné cet aspect gigantesque. Ils ont été bien nourri. Et surtout, énorme curiosité, en tout cas pour moi, ils perdent leur écorce. En grandissant, ils grossissent. L'écorce éclate et les voila en pleine mue. Comme certains animaux. Un arbre, c'est vivant. Et magnifique de grandeur et de majesté. Je suis ébahie, submergée par je ne sais pas quoi, admirative de ce que la nature peux faire. Dans cette forêt, la végétation peut être intense avec des semblants de prés ou viennent manger les kangourous ou walabies sauvages. Oui, j'en ai vu 2 ! Et constamment, les cris des cacatoos, des oiseaux blanc et noir. On dirait des bébés qui crient, pleurent, se chamaillent. Etrange. Avec évidemment quelques perroquets aux couleurs chatoyantes. Hummm ! J'en redemande ! Chic. Ils m'invitent pour une nouvelle ballade en forêt. J'accoure. Seul problème. Les marches démarrent au grand jour et se terminent toujours la nuit, à la lueur de la torche électrique. Cela me rappelle ma jeunesse, les week ends dans la forêt de Fontenaibleau.. Bon, ça devient la spécialité de la famille Witt. Et on redemande ! Je suis maso. Mais cette forêt est tellement belle, magique. Je suis allée dans la forêt de OAKLEY, sur la route de Great Ocean. Elle ne m'a pas autant fascinée. 

Et je ne vous parle pas des odeurs ! non ! Il faut y être !


  ARBRE2BIS                     arbre-vue-d'en-bas-1                   IGP5955

Sur les bords de la forêt                              VUE D'EN BAS !!!!                                De profil

 

              IGP5954                       BRUME

              Détail d'une "mue"                             A la tombée de la nui, la brume s'installe.

Magique ! Féérique !


 

 

 

 

 

 


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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 12:32

De Melbourne à Adélaide

Mais quel voyage j’ai pris là ! J’ai été exposé à un très gros danger : ne pas pouvoir me réveiller le matin !

Et oui. J’ai commencé par me lever à 4h 30 du matin. Incroyable ! Et j’ai réussi. Mais grâce à un copain parisien. Sans lui, je me rendormais. Il a fait téléphoné sa femme en premier. Puis il m’a réappelé 10 minutes plus tard. Merci. Je m’étais rendormie.

Bon, après cela, j’ai attendu mon taxi qui est arrivé juste quand je partais prendre le tram. Enfin j’arrive devant mon bus pour le grand voyage. Départ à 6h15. 1h plus tard, on était de retour devant l’emplacement de départ. Il avait fait tout le tour de la ville pour prendre les 9 autres personnes voyageant avec moi. J’aurais pu dormir 1h de plus. ARHHHHH ! Furieuse. Bon, c’est la vie. Les autres ont l’air sympa. Sur 10, il n’y a que 2 hommes. 1 jeune, 1 vieux. Décidément, les femmes ont l’air plus dynamiques pour voyager seules. Et des jeunes en plus. Durant ce voyage, je me suis rendue compte que j’avais quand même un peu vieilli. Quelque fois, j’avais du mal à les suivre. Le couple de vieux y arrivait, mais je pense qu’ils étaient un peu plus jeunes que moi.

En route pour la "Great Ocean". Joli. La route longe la mer. Au début, je me dis : bof ! C’est ça la Great Ocean. C’est comme chez nous, en Bretagne. Les arbres et la végétation sont juste un peu différents. Mais rien d’exceptionnel. Puis, au fur et à mesure, j’ai changé d’avis. La route borde la mer d’une manière très abrupte, en haut de la falaise. On surplombe la mer, et durant un bon nombre de km. C'est assez spectaculaire finalement. Mais dans ce genre de voyage organisé, on ne reste jamais assez longtemps ou l'on désire. Bon, je vais faire avec!

Voyageons un peu. Pour commencer :

Comment prendre la vague

Surfer sur la vague. Le rêve de tout surfeur

J’ai eu la chance de pouvoir les prendre en pleine action. Bon, il est vrai que je n’avais pas le bon objectif. C’est toujours come cela. Le mauvais technicien a toujours le mauvais outil. J'étais trop loin. En agrandissant sur l'ordinateur, j’ai fait un décomposé de prise de la vague. Mais il est vrai que la qualité n’est pas au rendez vous. J'ai beaucoup perdu sur la qualité de la photo. J’essayerai  de faire mieux à Cairns. Promis. Mais en avant goût, regarder. Et rêver.

Là, c'est la première étape. Ils attendent la venue de la vague, allongé sur la planche de surf

        DEBUT2           DEBUT3

 

Tout le monde n'a pas réussi à prendre la vague ......

Mais quand ils l'ont, cest beau !

LAME1     LAME2  

 LAME3     LAME4     

Décomposition : J'ai réussi un bracketting du même surfeur. Du moins , 2 surfeurs, mais 1 n'est pas arrivé au final. Du moins, il n'a pas réussi à prendre la vague

 decomposition1   decomposition2

 

 


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30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 16:08

Plusieurs faits m'ont étonnés cette semaine. Cette ville de Melbourne est assez étonnante par son côté social.

- Métro, bus : il existe 2 zones de transport à 2 prix différents évidemment. Le week end, tout le monde peut voyager au tarif de la première zone, soit presque moitié prix. Les séniors, eux, voyagent le dimanche à 1/2 tarif, quelque soit la distance. Bon, j'ai essayé, mais il faut être domicilié à Melbourne.

- Toilettes publiques : Toutes les toilettes (que j'ai visité par nécessité), ont une poubelle spéciale pour y mettre les seringues usagées. Je me pose 2 questions. Est ce pour les diabétiques ou pour les droguées? je préfère faire l'autruche et ne pas y penser. Dans les gares, elles sont accessibles du quai. Bien pratique pour ne pas rater son train, lorsqu'il doit arriver dans 5 minutes. Je vous le garantie. 

- Pain : Très dur d e trouver du vrai pain à la française. La miche de pain style Poilane est inexistante. La baguette est mollase, à l'américaine, et extra dure le lendemain. Les pains, même à la boulagerie sont du style pain de mie amélioré, vendu dans une pochette plastique souvent. Je n'ai pas vu la différence entre celui de la boulangerie, cuite du jour, et celui du supermarché. Par contre, je viens de découvrir un vrai pain, cuite du jour, au woolvorth. (Monoprix parisien) Juste quand je pars, comme d'habitude !

- Dandenong : Je suis allée 2 fois faire une marche dans les Dandenong, région de "rain forest" Chance, malchance, la dernière fois il a plu. Le lendemain il a fait un temps superbe. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Par contre cette forêt est stupéfiante. Je vous en reparlerais. J'ai quelques belles photos. A suivre

- Brunsbrick street :  Enfin, une rue comme je les aime. Animée, mais pas trop. Des magasins, juste ce qu'il faut avec des petits bistros, pubs à l'anglaise, restaurants cosy avec fauteuils en cuir. Les magasins ? beaucoup de "vintage", comme on dit maintenant pour remplacer le mot "frippe" C'est plus "mode". Je me sens à l'aise.   Les peintures murales sont de qualité. Les maisons pas très hautes. Les commerçants souriants. La rue est animée mais pas trop. Décidément, j'aime.

-Affiches publicitaires : Hier, je me suis promené sur les rives de South bank, évidemment bordée de restaurant. L'un d'entre eux m'a étonné et fait rire. Pourquoi ? J'ai supposé que c'était un restauarnt français. Encore pourquoi ? Et bien, il y avait 3 affiches visibles de l'extérieur. Des anciennes publicités que l'on ne trouve plus à Paris depuis longtemps. Il n'y a que les "vieux" qui les connaissent encore. Non pas que je sois vieilles, mais il est vrai que je n'ai plus 20 ans. Donc ces publicités étaient pour les vins Gévéor, Dubonnet et les aspirateurs Rhone Alpes. Affiches datant des années 1950. Surprenant à Melbourne, Australie. 

 

 

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 04:32

  

Pour les fans d’animaux sauvages, ce n’est pas aujourd’hui que je vais vous en présenter.

Par contre, j’ai vu de jolis wallabies à défaut de kangourous. La différence ? Ils sont nettement plus petits, plus petits que moi, j’ai l’impression. Mais j’étais loin. Leur poil est plutôt gris que beige ou marron. Ce n’est pas du tout comme dans les films.

Quand aux koalas, ils sont adorables. De grosses boules de poils tout gris. Il faut bien regarder, lever le nez au ciel pour les apercevoir dans les eucalyptus… Mais on est récompensé. Pour les photos, juste quand j’en ai aperçu un, qui était vraiment très prêt et complaisant. Et bien, plus de batterie ! C’est toujours comme cela, non ? Mais heureusement, j’avais mon Nikon chargé avec une pellicule en noir et blanc. Alors là, super ! Je suis sûre de la réussite. J’en ai au moins une de vraiment bonne. Elle fera surement l’objet d’un tirage que je me ferais une joie de diffuser. En attendant, quelques photos de mon petit voyage dans les sanctuaires animaliers.

 

  koala-1    ATTENTION, JE DORS          

 NON, JE NE BOUDE PAS, MAIS JE REFLECHIS      

          koala-2                                                                

WALLABIES ABSOLUMENT SAUVAGE .......DANS UN SANCTUAIRE !

Regarder ce qui pend dans ma poche !  La, il veut prendre l'air                    Bon, il a grandi très vite et ne veut pas                                                                                                          rentrer à la maison

walabie-et-enfant-1      walabie-et-enfant-2    wallabie-1

 

MOI, JE GUETTE !

wallabie-2

 

Un peu déçue par l’ensemble, mais cela correspondait un peu à ce que je prévoyais. Normalement, ce « Day tour » comme il est nommé ici, est focalisé sur les pingouins. Ils en profitent pour meubler le temps de passer dans une « ferme animalière » et un sanctuaire pour koala. Il faut dire que les pingouins, rentrent au bercail à la tombée de la nuit. Il faut donc s’organiser et faire un petit truc avant. Personnellement, c’est le petit truc avant qui m’a le plus intéressé.

 

Les pingouins : Surprise ! Je m’attendais, encore une fois, à voir des animaux comme dans les documentaires télévisés. Il est vrai que je me demandais ce que faisaient des pingouins dans les mers australiennes. Normalement, ils sont au froid, dans les mers arctiques. Et bien, ils sont minuscules. Je n’avais pas lu que c’était des Lilliput. 33 à 40 cm maximum. Leur arrivée est un vrai spectacle à l’américaine. Des estrades sont aménagées, avec des projecteurs sur le rivage et la plage. Ils arrivent par petits paquets de 20, s’attendant mutuellement. Très étonnant, mais réel. Ils attendent les retardataires avant de rentrer dormir. Une fois à terre, ils assemblent dans un semblant de « bush » des brindilles, comme les oiseaux, et construisent ou réparent leur terriers de la veille. L’arrivée dure maximum 10 minutes. Puis il faut se promener pour les voir se dandiner, plus solitaire qu’auparavant.

Vous ne verrez aucune photos, interdiction de les déranger, surtout avec un flash. J’avoue que je n’ai pas encore compris. Avec tous les projecteurs mis en place ! Mais je suppose que ce n’est pas pareil.

Pour vous prouver que j’ai quand même vu quelques pingouins, voici quelques photos prisent à l’aquarium de Melbourne. Attention, ce ne sont pas les mêmes. Ceux ci sont normaux!

 

              pinguin1                          pinguin-2

 

      Pour voir les photos en grand format, n'oubliez pas de cliquer dessus. C'est nettement plus joli.

A bientôt. J'ai des superbes perroquets et poissons. 

 

 

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 14:42

Parlons argent :

En arrivant ici, début mai, je trouvais tout très cher. J’oubliais de multiplier par 0,7, correspondant au change avec l’euro. Maintenant, j’y pense, mais je continue à trouver que la vie en Australie est plus chère qu’en France. De plus, pour les célibataires, ce n’est pas du tout pratique. Pour trouver une tablette de beurre de 250 ou 125 g, il faut se lever de bonne heure. Je ne l’ai pas encore trouvé. Obligation d’acheter celle de 500g. Pour le bon pain, idem. C’est la miche de 750g et non de 400g. On a intérêt à manger ou bien avoir un congélateur.

La bouteille d’eau naturelle est super chère, du moins à mon avis. Environ 4 à 5 $. Très dure de trouver une bouteille de 1l. à 3 $. En France, on a un pack de 6 bouteilles pour le même prix.

Le café au bistrot du coin, du moins ce qui peut le remplacer, car il n’y a de petits bistros. Et j’avoue que cela me manque, le petit expresso au comptoir ! Et bien, un café, expresso ou non, c’est 3 $, servi dans une tasse ou dans un gobelet en carton. Dans le gobelet en carton, ça passe mal. Mais quand vous demandez un expresso, c’est un vrai ! Dommage, il est toujours froid. 

Comme aux Etats Unis, le pot de yaourt individuel n’est pas fréquent et quand il existe, vous le payez presque  2 $ alors que le pot de 1 kg coûte 6 $ maximum.

Quand à la salade, comptez entre 2 à 3 $ une toute petite salade. Les plus grosses, normale chez nous, coûte le double. Peut être n’est je pas été au bon endroit. Ce sera pour une autre année.

Passons aux vêtements : ce sont les soldes. Là, les prix sont hyper intéressant. Mais attention, une paire de botte australienne avec de la doudoune partout, coûte quand même 300 $ et n’est pas soldée. N’oublions pas, c’est le début de l’hiver.

Je pense que je vais m’acheter des vêtements et les envoyer par la poste. Non pas à cause du prix, mais j’ai vu des trucs sympa, en particulier des pyjamas tout molletonnés et rigolos. Un peu lourd pour ma valise qui fait déjà 22kg. J'ai repensée à ce qu'une amie m'a conseillé. "La poste" est toujours présente. Peut être m'offrirais je quelques nouvelles chaussures? Non, je ne suis pas une "chaussure addict"

Par contre, j’ai été étonnée de découvrir que IKEA est implanté dans toutes les grandes villes Australiennes ainsi que le petit supermarché discount ALDI, pratiquant les même prix qu’en Europe. Du coup, tous les australiens vont dans ces magasins. Ils n’ont pas l’habitude de ce genre de prix et ils se ruent pour acheter chez eux. 

 

 Dans 1 semaine, je quitte Melbourne pour Adelaïde. Je viens de trouver le supermarché qui me fallait. Avec un grand choix de yaourts, fromage, etc …. un peu comme un grand Monoprix à Paris.

C’est étrange, quand on a des habitudes, elles nous manquent quand on doit les changer. Rien ne vaut un voyage pour s’en rendre compte. On perd ses repères, on en cherche d’autres, on change de ville, et on recommence à zéro.

Evidemment, dans les rayons, je me suis renseignée sur un produit. Et je suis tombée sur le rare Mauricien vivant à Melbourne, parlant français. Il était tout heureux de parler dans sa langue maternelle. Au début, ce fut laborieux. Puis, nous sommes venu à dialoguer sur les  caractères des australiens, français, américains… Nous nous appelons par nos prénoms et il attend avec impatience ma prochaine visite. J’irais surement au Woolworf rien que pour le voir. Bon, il est un peu jeune mais sympa. Donc, why not ?

 

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 03:39

MARCHE DE ST KILDA   

Ce dimanche, retour à St Kilda Beach. Le soleil était au rendez vous. Le long de l’esplanade longeant la plage, il y a un marché. Je voulais absolument le voir, baguenauder au soleil, admirer l’art australien. Et bien j’ai été servi. Les peintres actuels sont très intéressants. Ils mélangent modernisme et culture ancestrale (quand ce sont des aborigènes évidemment) Le tout est très haut en couleur. J’aime beaucoup. Par contre, j’aime moins les peintures dans le style typique aborigène. Un peu lassant, sans réellement de créativité

 

SKATEBOARD

Le soir, vers 5h, les jeunes « skateurs » sont au rendez vous pour s’entrainer. Il est visible qu’ils s’entrainent.

 Un vieux  (oh oui, bien 50 ans) est venu, mais il est vite reparti. La différence de fluidité dans son déplacement, même sur le plat était frappant.

 Dimanche dernier, ils s’entraînaient à sauter au dessus d’une poubelle. Pas très ragoutant mais efficace. Cette semaine, sauts normaux sans poubelles. Elles devaient être encore pleines ….

            skate-1        skate-bon Euhhh!!! petit problème !

             YES ! Réussi !

 

                                 Le dernier a juste eu un petit problème d'atterrissage ...........

 skate-bleu-1           skate-bleu-3              SKATE-3

 

Et pour le FUN, (plaisir) comme on dit ici . Photo non truquée. Juste mise en négatif. J'ai trouvé que le vent dans le tee shirt s'y prétait très bien

 

      skate-bleu-NEGATIF

 

  ET MAINTENANT, REVEZ A LA PLAGE ET AUX ENVOLS DE SKATEBOARD !

 

 

 

 

 

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 08:53

15 MAI :

Géniale journée. En théorie, c’est mon anniversaire. Mais Oh Surprise, c’est également le jour de célébration de BOUDDHA. J’avais vu cela à Hong Kong. Je croyais que c’était uniquement dans cette ville. Et bien, ici, à Melbourne, on le fête aussi. Et pendant 2 jours. J’apprends donc que c’est mondial et que c’est considéré comme son anniversaire. J’aime cette idée d’être née le jour de la célébration de Bouddha.

Beaucoup de monde sur la place. Mais où sont les 2 autres passagers de ce vélo ? Mystère. Je l’ai rencontré plusieurs fois durant l’après midi, toujours seul avec son vélo pour 3. Un peu encombrant.

Bouddha-day-velo-blog

Comme dans toute fête, un podium avec des musiciens. Mai attention, géré par Apple !! 

Bouddha-day-MUSICIEN-BLOG 

 

Certains ont choisi ce fabuleux jour pour se marier. Comme les moines, toutes les demoiselles d’honneur sont habillées en couleur safran. Les accessoires sont de la même couleur. Le marié est descendu sur la rive (à droite) pour figurer, solitaire mais souriant sur les photos souvenirs.

Bouddha-day-mariage-blog

Un peu plus loin, des jeunes mimes racontent une histoire que l’on peut comprendre avec une traduction de spécialiste. D’autres jeunes gens,dans  la foule expliquent l’histoire à ceux qui le désirent. Histoire très intéressante. Finalement, on se rend compte que c'est la base du bouddhisme : C’est l’histoire d’un homme pris entre plusieurs  génies du mal, la richesse, à gauche) et la luxure représentée par une jeune fille qui il est vrai était superbement sexy (droite) La bagarre est très dure. Ou est la sagesse? A la fin de ce mime, il obtient une grande sagesse.

bouddha-day-mime-blogIl résiste, il succombe, il continue à résister.

 Pendant ce temps, certains font une prière qui se termine en frappant la cloche. Tout un rite durant cette prière. Et les gens font la queue pour l’effectuer

 

Bouddha-day-priere-blog

 

Face au podium ou Bouddha supervise l’ensemble, de petite vasque emplie d’eau. Elles servent à la purification de Bouddha et par la même occasion, c’est vous même que vous purifiez en versant l’eau sur réplique. Votre vœux, que vous n’oubliez pas d’effectuez en même temps sera réalisé. J’ai effectué cette cérémonie et je ne dirais pas mon vœu. Je voudrais qu’il se réalise.

Bouddha-day-PURIFICATION-BLOG

 

A 15h, cérémonie officielle :

3 moines, se dirigent vers l’autel élevé spécialement pour ce jour de fête sur Federation Square

ILs sont rejoint par des officiels de la ville et un représentant de chaque confession. Chaqun fait un discours que j'avoue avoir évité en me promenant le long de la rivière ou sont aligné des stands d'alimentations chinois. Nettement plus intérressant.

Je ne me suis pas gavée, mais juste un peu alimentée.....

 

bouddha-day-moine-blog                             ceremonie-bouddha-daye-blog

                     

 


 

 

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 01:58

Et bien, ce n'est pas facile de tenir à jour un BLOG. Comment font les autres? Ils y sont au moins 5 heures par jour !

Cela  fait une semaine que je suis à Melbourne avec plein d'anecdotes journalières que je me suis gardée. A chaque fois, je pensais : sympa, je pourrais l'écrire, puis je fais autre chose. Oh ! Pas grand chose. Finalement, je confirme, je suis un peu feignante.

- Au bout de la rue, avant de prendre le tram, il y a un petit café qui vend des quiches, tartes, muffins et sandwichs. La patronne? Pas australienne. Ou du moins, pas née ici, vue son accent. Nous sommes devenues un peu copine, comme on peut l'être avec un commerçant au bout de quelques jours. Je lui achète un muffin. Elle me fait goûter un gros morceau de son pain à la banane maison. Super bon ! En faisant mon café, elle se trompe et met du lait dedans. Berk ! Pas de problème. Elle appelle son fils pour tenir le comptoir et s'installe avec moi pour discuter en le buvant. Certains ne seront pas étonné de cela. N'est ce pas????

- Melbourne au mois de Mai ? Il fait froid dans les maisons. Dehors, avec le soleil, c'est tenable avec un petit pull ou un gros tee shirt. Quand il y a du soleil ! de 11H à 16h maximum. C'est pas mal. Le tout est de l'avoir compris rapidement. Et surtout, ne pas s'étonner. A 17h, la nuit arrive. A 18h, il fait complètement nuit.

- Je n'ai pas encore trouvé mon rythme de vie, à cause de ce sacré soleil. La lumière parisienne et celle de mon appartemnt me manque pour travailler sur l'ordinateur. 

Samedi 15 mai.

Chic, c'est mon anniversaire. Mais au fait.... je suis née à 21h30. Donc, ici, c'est demain. J'ajoute 8h. Et bien, fêtons le 2 fois. Le 15 et le 16. Pour la peine, je comence par le muffin et café puis je verrais....

je reçois quelques message qui me touchent beaucoup. Merci ma soeur pour tes cartes à répétitions (elle ne sait jamais si elles les a bien envoyé) Merci Flora pour ta jolie carte. Oh Jeanine ! Quelle jolie voix quand tu chante au téléphone. Pas de déformation. Je t'ai reconnu. Et surtout : merci mon frère avec ton SMS qui m'a vraiment touché. 

- Je quitte l'appartement de bonne heure. Pour ceux qui me connaissent, il est 11h plus quelques minutes..... Devant la porte une femme souriante, parlant dans son téléphonne. " HI RACHEL" Je lui souris et continue ma route. Elle me coure après. Moi : "Etes vous quelqu'un de l'immeuble? Un problème?????" Et bien non. l'une des femmes habitant mon appartement avait compris que j'avais des problèmes de communication avec le téléphone. Du coup, elle m'a envoyé sa belle fille.  Génial. J'adore ! A travers l'océan, elles s'inquiètent pour moi! 

Nous sympatisons. Nous dînerons ensemble un soir de la semaine prochaine.

Dimanche 16 mai  

C'est encore mon anniversaire. Je n'ai pas fait grand chose le 15, Mais là, je vais me ratrapper

- Déjeuner avec la femme de MIck. Et oui Sonia ! Elle s'appelle Barbara et est très sympa. Puis vu le soleil, direction la plage de St Kilda. En photographiant un joli setter (jeune chien magnifique que vous verrez bientôt) je fais connaissance de leur proriétaires que je n'avais pas vu. Beaucoup d'humour. Normal. Il sont originaire d'Europe central. Bielorussie exactement. Emigrant de première génération. Evidemment, je récupère des tuyaux sur les restaurants et l'alimentation en général du coin.

- Evidemment, j'arrive à St Kilda tardivement. Le soleil n'est plus au rendez vous. Pour les photos, c'est difficile. La lumière est basse, intéressante mais difficile de travailler avec. 

Tiens un baigneur ! mais il est fou ! Moi, j'ai remis mon pull. Presque tout le monde a des gros pulls ou anoraks. Mais....ceux là c'est pire ! Ils se baignent tout habillé ! Bon. L'australie c'est spécial.

- Manège quand tu me tiens. Un "luna park" est situé en bord de plage. il est 4h30 et la nuit tombe. Chic, il y a plein de lumière. Je n'ai pas encore visualisé les photos que j'ai prise, mais il y en aura au moins 2 de bonnes.

A bientôt avec les photos


 

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